Merci de décliner votre identité...
Nom :
Poufsouffle
Prénom :
Afanen (Signifie Framboise en Gallois)
Lignée :
Sang-Pur
Fief :
Est née au Pays de Galles, dans le village de ses ancêtres qui portent le nom Poufsouffle.
Rôle :
Professeur de Botanique
Grands parents :
Afanen ne les a plus revu depuis ses sept ans, aussi en garde-t-elle un souvenir flou. Elle sait simplement que du coté de son père, ils ont succombé à une épidémie de Peste lorsqu'elle était petite, et que ses grands parents maternels vivent toujours entouré de ses oncles et tantes au village.
Parents :
Le père d'Afanen était Geralt de Rive, un grand épéiste et sorcier reconnu dans le pays de Galles tout entier. Il était réputé pour ses idées novatrices, sa douceur auprès des dames et des enfants, ainsi que sa tendance à se battre comme un lion lorsqu'il fallait défendre les siens. Elle ne l'a pas beaucoup connu car il est mort lorsqu'elle était petite, mais elle se souvient de lui comme d'un père aimant et qui adorait la prendre dans ses bras.
Helga Poufsouffle est sa mère, et tout le monde en a déjà entendu parler, sans aucun doute. Entre les deux femmes, c'est l'amour inconditionnel. Elle l'a élevée seule, elle a soigné ses plaies, lui a tout appris, tout légué, et elles se sentent souvent plus soeurs que mère et fille. Le seul rêve d'Afanen est de pouvoir un jour se montrer digne de sa mère et de reprendre son rôle à la mort de celle-çi.
Frères et Sœurs :
Afanen a eu une petite soeur qui a succombé à la Peste en même temps que leur père, et ne l'a pas beaucoup connu, mais elle a parfois un pincement au coeur en repensant à cette adorable petite rouquine qui riait toujours aux éclats.
Son unique frère survivant est Macsen, un gamin de 16 ans qui aime faire tourner sa soeur en bourrique, toujours dans les ennuis et les bêtises, mais avec un bon fond. Il a hérité des traits de leur père, de sa force et de son mental d'acier, mais il ne résiste jamais à retourner se blottir contre les femmes de sa famille quand il en sent le besoin. C'est son petit frère chéri et elle a parfois du mal à se montrer juste avec lui.
Présentation du personnage :
Physique :
Tout comme sa mère, Afanen possède des pommettes hautes et des yeux bleus clairs, qui illuminent un visage souriant. Cependant, elle possède les cheveux blonds de son père, même s'ils ondulent, et est plus petite qu'Helga. Elle est svelte et menue, n'a pas les attributs généreux d'autres filles de son âge, mais cela ne la dérange pas outre mesure, la demoiselle n'étant pas prête à se marier. Son capital génétique la prédispose en effet à des grossesses douloureuses à cause de ses hanches fines, et elle n'a pas la force physique de sa mère. C'est une demoiselle gracieuse qui parait trop fragile et prête à s'envoler au moindre coup de vent, une allure accentuée par les robes fines qu'elle porte en permanence, sans se préoccuper d'une quelconque décence: pour se promener dans le Bosquet ou dans les plaines, rien ne vaut la soie qui coule sur sa peau comme une caresse.
La partie qui suit se déroulera sous la forme d’un Role Play. Ceci nous permettra d’une part d’en apprendre davantage sur votre personnage, et d’autre part de nous rendre compte de votre niveau de jeu.
Vous êtes dans une salle exigüe. A l’intérieur, rien d’autre à l’exception d’un bureau et de deux chaises. Vous êtes seul, dans l’attente d’un examinateur qui déterminera si, oui ou non, vous aurez l’opportunité d’intégrer la prestigieuse école de sorcellerie, tout juste créée. Une porte s’ouvre, un adulte entre dans la salle. Il vous pointe du doigt une des deux chaises présentes, la moins confortable et la plus vétuste, évidemment. Lui prend place dans son fauteuil sur son bureau. L’adulte ouvre un parchemin, toujours sans parler, fait mine de lire quelques informations, puisse se décide finalement à le replier. L’examinateur lève la tête, vous dévisage, et prend quelques notes. Vous ne savez pas pourquoi. Vous ne saurez jamais pourquoi. Finalement, il délaisse sa plume enchantée, et engage la discussion.
« Je te souhaite bienvenue à l’Ecole de Sorcellerie de Poudlard. Je me présente, je suis l’un des quatre directeurs de cette nouvelle école. Vous aurez souvent affaire à moi au cours des prochaines années de votre parcours professionnel si, évidemment, vous êtes accepté à l’issu de cet entretien. N’ayez pas peur, et commencez par me raconter votre vie jusque maintenant »
"Coucou Salou!! Oui, oui, on sait que tu es un fondateur, tout le monde est au courant, hein! J'suis obligée d'avoir affaire à toi? Vraiment? Non mais parce que l'on sait tous les deux que tu vas saquer les élèves de ma mère et que je vais saquer les tiens. Mais ça part d'une bonne intention, hein? Enfin, bref, tu tiens vraiment à savoir ma vie, encore? Je te l'ai pas suffisament racontée quand j'étais petite? Pff. Si tu insistes...
Alors, je suis née en 978, c'est moi l'ainée de la famille! J'ai grandi entourée d'amour, avec mon père qui voulait faire de moi une vraie petite guerrière et ma mère qui m'enseignait les arts magiques, et puis j'ai été rejoint par Deryn. C'était un amour, cette petite, toujours en train de rire, de faire de la magie instinctive, elle attirait les licornes encore plus que moi... Maman a eu des problèmes de santé pendant quelques années, et je me suis retrouvée quasiment seule à élever Deryn, alors qu'elle pleurait toutes les larmes de son corps devant les corps sans vie de mes petits frères. C'était comme si Diancecth, le dieu guérisseur, ne voulait pas qu'elle porte un fils. Je me souviens que c'était des années assez difficiles, d'une part parce que l'on entendait parler d'une terrible maladie qui faisait des ravages en Angleterre, de l'autre parce que la plupart des gens disaient que Maman était victime d'une malédiction, parce qu'elle avait fait de l'escrime, les dieux avaient décidé de se venger en l'empêchant de porter des fils. Mais au final, Macsen est né, et cela a étouffer toutes les mauvaises langues. Père et Mère sont redevenus un couple aimant et très fort, ils nous apprenaient tout ce qu'il fallait savoir sur la magie, le monde, les dieux, tout. Et puis, un jour, la Peste a traversé la frontière de notre village, et cela a été l'hécatombe. Deryn a été une des premières à succomber, et c'est Papa qui a refusé de laisser son corps rejoindre la fosse commune; il a lui même construit son bucher funéraire, en nous interdisant d'approcher, et a prodigué à notre petite soeur chérie les derniers soins avant de la laisser rejoindre les esprits de nos ancètres. Peu après, il a commencé à montrer des signes de maladie, à son tour, et a préféré s'enfermer dans sa chambre avec un sort plutôt que de nous contaminer. Maman lui ensorcelait une assiette tous les jours, mais plus le temps passait, moins il faisait de bruits. Pendant l'épidémie, j'ai vécu cachée avec Macsen parmi une harde de Licornes, que ma mère avait passé des heures à supplier, pour nous éviter de tomber malade, et c'est uniquement lorsqu'elle est revenue vers nous, les traits tirés et les yeux rouges, que j'ai compris que mon père n'était plus.
Après cela, elle n'a plus été la même, au village, et lorsque notre grand mère lui a fait comprendre qu'il fallait qu'elle se remarie, elle a abandonné sans remords la maison pour partir avec nous sur les chemins. On en a fait, des voyages, depuis. J'ai particulièrement aimé l'époque où nous avons vécu auprès d'êtres de l'eau, ou dans les forêts, et puis, Maman vous a rencontré, et on a tous construits le Chateau! Et la suite, vous la connaissez puisque c'est souvent vous qui m'avez enfermé dans les cachots parce que je n'avais pas été sage. Ma mère m'a gardé auprès d'elle afin d'élever les enfants qui nous rejoignaient, et j'ai occupé le poste d'adjointe dans ses cours alors même que je n'étais encore qu'une étudiante comme les autres.
« Bien, bien, je prends note… Et si vous me parliez de vos défauts et qualités ? Ne rechignez pas sur les défauts, ils m’intéressent bien davantage que vos qualités. Soyez précis et honnête, c’est important ».
On me dit souvent que je ressemble à ma mère... Ce n'est pas impossible. Je suis très gourmande, moins qu'elle cependant, mais j'aime manger et bien vivre, j'aime rire et sourire, j'ai le pardon facile et j'arrive à intéresser les enfants aux matières que j'enseigne. Cependant, je suis fortement tétue également, j'ai tendance à m'emporter sans raison et à tempêter contre tout le monde, je suis assez insolente, comme vous le savez bien, je considère que les femmes ne sont pas inférieures aux hommes, et je le montre souvent. Rabattre le caquet de jeunes mâles arrogants est mon petit péché mignon. Sinon, je ne suis pas du tout douée en Potions, je n'arrive jamais à trouver les bons mélanges et tout ce que je crée à une tendance à exploser. Mais je suis travailleuse et j'essaie de m'améliorer tous les jours que les dieux font, afin d'être la meilleure possible, pour arriver au niveau de ma mère, et devenir une grande sorcière tout comme elle!
« C’est bon, vous pouvez vous arrêter. J’ai entendu assez d’atrocités ainsi… N’y a-t-il donc plus une seule âme pure en ce bas monde ? Enfin bref, là n’est pas la question, évidemment. Avez-vous une passion particulière, ou bien même des remarques à me faire ? »
Roh, je suis encore une âme pure, non mais! Faut regarder du coté de tes Serpentards, tonton, je suis sure que tu vas trouver pire que moi! Une passion particulière? Les plantes, la foret, les animaux, tout ce qui nous entoure en fait. J'aime passer du temps auprès des êtres magiques, et je connais une harde de Licornes qui ont élu domicile dans le Bosquet... Elles sont magnifiques, simplement.
Je n'aime pas beaucoup la façon dont certains garçons me regardent, comme si j'étais un morceau de viande qu'on peut dévorer, et j'aime encore moins voir des élèves rabaisser des plus jeunes ou des plus faibles, sous prétexte qu'ils sont meilleurs qu'eux. Heureusement que nous ne sommes pas tous pareils, franchement! Mais j'aime beaucoup cette école, et je veux y enseigner et y vivre jusqu'à la fin de mes jours. Après tout ce que j'y ai vécu comme aventures, c'est ma maison. Et puis, si je partais, je suis sure que vous finiriez tous par mourir d'empoisonnement à cause d'un dessert loupé de Maman, alors autant que je reste!
« Ahh au fait, on a du vous donner une information à me transmettre ? Laquelle est-ce ? »
Comment ça, une information? Non, non, je vois pas, à part le panneau que je me suis pris dans le front quand j'ai suivi le chemin fléché vers les joutes...
Finalement, l’examinateur se redresse, finit d’annoter de nouvelles informations sur le parchemin, puis le replie, minutieusement. L’entretien est terminé, et il vous indique qu’un employé vous communiquera, rapidement, si vous êtes accepté au sein de l’école, et si tel est le cas, la marche à suivre lors des prochaines étapes administratives.
Hors jeu
Comment avez-vous connu ce forum ?
L'incernation divine \o/
Quelle sera votre disponibilité ?
La même que Lady Helga
Autres commentaires :
.... Vive les hippies?
